Les livres de management à lire pour bien commencer le printemps.

Anglais professionnel, travail en start-up, management bienveillant, ubérisation du travail… Voici de quoi s’instruire tout en passant un agréable moment.

Le printemps est officiellement là. Il est l’heure de profiter des premiers rayons de soleil. Pourquoi pas en lisant la sélection des meilleurs livres de management réalisée par le JDN ?

L’essentiel de l’anglais professionnel

« Anglais professionnel exigé ». Voilà une phrase qui est présente sur toutes les fiches de poste. Si certains ont besoin de muscler leurs compétences linguistiques, qu’ils n’hésitent pas à lire l’ouvrage de Jean-Paul Nerrière ancien vice-président d’IBM USA. Vocabulaire, prononciation, phrases typiques… Ce livre, à mettre entre toutes les mains, donne toutes les cartes pour briller auprès de collègues ou de clients étrangers.

 

« Globish, l’anglais suffisant pour briller en toute situation », Jean-Paul Nerrière, Eyrolles, 250 pages, 20 euros.

La face noire du travail en start-up

Vous rêvez de travailler dans une start-up dynamique pour acquérir des responsabilités, donner du sens à votre carrière et profiter d’espaces de travail où la convivialité est la norme ? Mathilde Ramadier l’a fait pendant plusieurs années à Berlin et la réalité est loin d’être rose. Précarité des statuts et des salaires, abus de stagiaires, séparation inexistante entre la vie privée et la vie professionnelle, KPI si sophistiqués qu’ils supplantent les rapports humains… La jeune diplômée de l’ENS dresse un récit inspiré de son expérience. Start-upper vaniteux, jeunes surdiplômés surinvestis et managers déconnectés des réalités cohabitent avec humour dans cet ouvrage qui se dévore avec gourmandise.

« Bienvenue dans le nouveau monde, comment j’ai survécu à la coolitude des start-up », Mathilde Ramadier, Premier Parallèle,  160 pages, 16 euros.

La bienveillance, valeur clé du management

Quelle est la bonne recette d’un management réussi ? Selon le médecin Philippe Rodet et le DRH Yves Desjacques, elle tient en un seul mot : la bienveillance. Selon eux, un management bienveillant permet de diminuer le stress, le burn out tout en augmentant la fidélité, l’investissement et la motivation des salariés. Pour atteindre ces objectifs ils donnent aux managers de véritables conseils pratiques qui vont de l’art de la gratification à l’interdiction de faire ami-ami.

« Le management bienveillant », Philippe Rodet, Yves Desjacques, Eyrolles, 220 pages, 14.90 euros.

Ubérisation, un ennemi qui vous veut du bien ?

L’ubérisation est un phénomène qui touche de plus en plus de secteurs d’activité. Pour certains, elle permet de lutter contre le chômage. Pour d’autres, elle dégrade les conditions de travail des salariés. Alors que faire ? Denis Jacquet, président de l’observatoire de l’ubérisation, et Grégoire Leclercq, président de la Fédération des auto entrepreneurs, font un constat pragmatique de la situation. Non, il est impossible et économiquement contre-productif de lutter contre ce phénomène. Oui, les pouvoirs publics, les consommateurs et les salariés du secteur peuvent faire en sorte d’améliorer les règles du jeu via des pistes concrètes examinées dans cet ouvrage très actuel.

« Ubérisation, un ennemi qui vous veut du bien ? », Denis Jacquet, Grégoire Leclercq, Dunod, 18 euros.

 

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