Diriger: le-top-10-des-qualités-requises-pour-diriger.

le dirigeant demain flexible visionnaire, d’aujourd’hui essentiellement savoir gérer troupes

Tendance La dernière édition du Forum économique mondial de Davos a publié un classement comparatif des qualités requises pour diriger. L’ordre des priorités de 2015 devraient sensiblement différer de celui de 2020.

La diplomatie en entreprise reste et devrait rester une compétence appréciée pour diriger. C’est ce que révèle le palmarès des qualités requises pour diriger en 2015 et en 2020 (ci-dessous), publié par les organisateurs du forum économique mondial de Davos, dans le cadre d’une étude intitulée «The future of jobs». L’évènement, résolument tourné vers l’avenir, avait pour thème « la 4e révolution industrielle ».

 

Le sens critique, prochain pré-requis et le management des équipe, un acquis

Premier enseignement : en 2020, comme en 2015, la résolution de problèmes complexes devrait être la compétence-clef  des dirigeants. Mais si aujourd’hui le leader doit immanquablement savoir manager ses troupes, dans 5 ans, elle devrait être la dernière des qualités recherchées, car évidemment considérée comme un pré-requis. En 2020, l’esprit critique, qui consiste notamment à prendre de la hauteur et à savoir croiser les opinions,  sera la deuxième qualité la plus convoitée chez un dirigeant, alors qu’en 2015 figurait à cette deuxième position la capacité à collaborer.

A l’avenir, intelligence émotionnelle et flexibilité cognitive exigées

Dernier enseignement : les projections de 2020, des compétences nouvelles seront demandées aux dirigeants placent l’intelligence émotionnelle et la flexibilité cognitive respectivement à la sixième et dixième places. Ces deux concepts sont assez proches dans leur définition : quand l’intelligence émotionnelle consiste à utiliser ses émotions et sentiments avec tact, la flexibilité cognitive ou intelligence des situations permet d’adapter son comportement en fonction des circonstances. Autant dire que le dirigeant de demain devra être flexible et visionnaire, alors que celui d’aujourd’hui se focalise essentiellement sur sa capacité à gérer ses troupes.

A lire : l’intégralité de l’étude

En savoir plus sur http://business.lesechos.fr/directions-generales/strategie/transformation/021658958478-le-top-10-des-qualites-requises-pour-diriger-206740.php?JAibHwzmWI2MbLtY.99#xtor=CS1-60

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