Certains emplois, parfois peu connus du grand public, s’avèrent particulièrement rémunérateurs. Tant mieux, ils manquent souvent de main d’oeuvre.
Si trouver un emploi, même bardé de diplômes, est une sérieuse victoire, dénicher un emploi bien payé revient à décrocher la médaille d’or. Pourtant, ce ne sont pas les possibilités qui manquent.
Il existe de nombreuses professions en recherche de bons candidats, prisées par les recruteurs qui sont prêts à mettre la main au portefeuille. La digitalisation de l’économie ainsi que la mondialisation ont boosté la demande de profils spécialisés dans certains domaines, de l’informatique à la finance, en passant par les ressources humaines et le marketing.
Les chiffres présents dans l’article sont issus des études suivantes : Etude rémunérations 2018 de Page Group, Etude de rémunérations 2018 de Robert Half. Sur certains métiers, le JDN s’est basé sur des données provenant de RégionsJob, de l’Apec mais aussi du Cidj. Partons à la découverte de métiers qui font parfois peu rêver et qui pourtant tiennent le haut de la fiche… de paie.
- SEO Manager : le magicien du référencement (de 35 à 90 K€)
- Chief digital officer : le capitaine de la digitalisation (de 125 à 380 K€)
- Directeur de e-commerce : le patron du magasin digital (de 90 à 130 K€)
- Responsable Brand content : le littéraire bien payé (de 34 à 60 K€)
- Data Protection officer : le gardien des données (non communiqué)
- Architecte réseaux télécom (de 59 à 93 K€)
- Ux designer : il rend le e-commerce facile et agréable (de 40 à 65 K€)
- Juriste en NTIC : il protège des dérives (de 30 à 80 K€)
- Souscripteur : le conseiller des assureurs (de 35 à 70 K€)
- CRM Manager : au service de la relation client digitale (de 32 à 60 K€)
- Data scientist : le maître des données (de 35 à 70 K€)
- Traffic manager : il rentabilise les sites web (de 30 à 60 K€)
- Actuaire : le jongleur statisticien (de 43 à 85 K€)
- Responsable SIRH : le mouton à cinq pattes (de 45 à 120 K€)
- Digital evangelist : le prêcheur de la bonne parole high tech (de 82 à 140 K€)
- Consolideur : l’expert comptable des sociétés cotées (de 50 à 75 K€)
- Architecte logiciel : le technicien manager (de 62 à 97 K€)
- Cash manager : le gardien de la sécurité financière (de 42 à 80 K€)
- Head of social media : le garant de la e-reputation (de 40 à 75 K€)
- Responsable de la conformité : un garde-fou prisé (de 45 à 70 K€)
- Directeur achats matières premières : vue sur cours (de 80 à 200 K€)
- Directeur artistique web : l’artiste geek (de 35 à 70 K€)
- Ingénieur patrimonial : à l’aide des banquiers (de 35 à 70 K€)
- Asset manager immobilier : il gère la pierre (de 35 à 90 K€)
- Responsable sécurité informatique : le protecteur (de 50 à 60 K€)
- Ingénieur aéronautique : l’offre s’envole (60 K€ en moyenne)
- Planneur stratégique : l’expert web et médias (de 25 à 80 K€)
- Ingénieur offshore : le roi du pétrole (de 50 à 80 K€)
- Gérant sous mandat : il peut vous rapporter gros (de 30 à 100 K€)
- www.wabiness.com réseau d’apporteurs d’affaires – apport d’affaires – agents commerciaux – agent commercial