Et si le Brexit tuait la tech britannique ?

Et si le Brexit tuait la tech britannique ?

Le Brexit pourrait avoir de graves conséquences pour les start-up de Grande-Bretagne. Les profils tech étrangers sont pratiquement la moitié à penser quitter le pays…

Le gouvernement britannique et l’Union européenne sont en pleines négociations pour organiser le Brexit. Bien des sujets sont abordés par les négociateurs, dont la libre circulation des travailleurs étrangers.

 Un point important pour les salariés non-britanniques qui travaillent dans la « brit tech ». Sont-ils préoccupés par la situation ? La réponse semble plutôt positive. C’est ce que révèle une étude menée en octobre 2017 par Hired, site de recrutement spécialisé dans les emplois IT.

A cause du Brexit, 49% des personnes interrogées se posent la question de quitter le Royaume-Uni pour chercher du travail ailleurs (Europe, Asie, Amérique du Nord). 41% de l’échantillon pense pour l’instant rester dans le pays. 10% des répondants sont dans l’expectative et ne savent pas encore ce qu’ils vont faire.

Les données ont été mises en forme par notre partenaire re.sources, le DataLab de l’emploi de Randstad. Précisons que la fuite de dirigeants de start-up, développeurs et autres Ux designers pourrait avoir de graves conséquences pour l’économie britannique.  Ainsi, selon l’institut Due Dill, en 2015 21% des start-up basées au Royaume-Uni ont été créés par des étrangers.

 

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