Certains emplois, peu connus du grand public s’avèrent particulièrement rémunérateurs. Tant mieux, ils manquent souvent de main d’oeuvre.
Si trouver un emploi, même bardé de diplômes est une sérieuse victoire, dénicher un emploi bien payé revient à décrocher la médaille d’or. Pourtant, ce n’est pas les possibilités qui manquent.
Il existe de nombreuses professions en recherche de bons candidats, prisées par les recruteurs qui sont prêts à mettre la main au portefeuille.
La digitalisation de l’économie ainsi que la mondialisation ont boosté la demande de profils spécialisés dans certains domaines, de l’informatique à la finance, en passant par les ressources humaines et le marketing.
La plupart des chiffres présents dans l’article sont issus des études suivantes : Etudes rémunérations 2017 de Page Group, Etude des rémunérations 2017 de Robert Half, Etudes des rémunérations 2016 de Hays. Sur certains métiers, le JDN s’est basé sur des données provenant de RégionsJob, de l’Apec mais aussi du Cidj.
Partons à la découverte de métiers qui font parfois peu rêver et qui pourtant tiennent le haut de la fiche… de paie.
- Juriste en NTIC : il protège des dérives (de 30 à 75K€)
- Souscripteur : le conseiller des assureurs (de 35 à 70K€)
- CRM Manager : au service de la relation client digitale (de 40 à 90K€)
- Ux Designer : il rend le e-commerce facile et agréable (de 37 à 60K€)
- Data scientist : le maître des données (de 37 à 70K€)
- Traffic Manager : il rentabilise les sites web (de 30 à 60K€)
- Actuaire : jongleur statisticien (de 43 à 85 K€)
- Digital evangelist : prêcheur de bonne parole high tech (de 82 à 140 K€)
- Consolideur : l’expert comptable des sociétés cotées (de 35 à 75 €)
- Architecte logiciel : un technicien manager (de 62 à 94 K€)
- Gérant sous mandat : il peut vous rapporter gros (de 30 à 100 K€)
- Cash manager : gardien de la sécurité financière (de 42 à 80 K€)
- Social media manager : garant de la e-reputation (de 45 à 95 K€)
- Responsable de la conformité : un garde-fou prisé (de 55 à 80 K€)
- Responsable SIRH : une double compétence convoitée (de 45 à 120 K€)
- Directeur achats matières premières : vue sur cours (de 80 à 200 K€)
- Directeur artistique web : l’artiste geek (de 35 à 70 K€)
- Ingénieur pétrole offshore : le roi du pétrole (de 50 à 80 K€)
- Ingénieur patrimonial : à l’aide des banquiers (de 35 à 70 K€)
- Asset manager immobilier : il gère la pierre (de 35 à 90 K€)
- Responsable sécurité informatique : le protecteur (60 K€ en moyenne)
- Ingénieur aéronautique : l’offre s’envole (60 K€ en moyenne)
- Digital planner : expert web et medias (de 25 à 80 K€)